1. Chapitre 10 à 17 Fiction 1

Chapitre 10 :

Maxi ? Nan pas possible !

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Je frappa de toutes mes forces. Tout de suite, j'entendit un gros "AIE !" masculin.

Nata : PUTAIN espèce de PERVERT !

??? : NATA ! Calme-toi ! Franchement tu frappe pas molo,toi !!

Nata :Maxi ? Mais qu'est ce que tu fiches là ?!!! T'es dans ma chambre je te signale !!

Il coura vers moi et me banda la bouche avec sa main en me soufflant à l'oreille : CHUT ! Il me plaqua contre un mur et me dis :

Maxi : Je suis venu te voir car je pouvait pas supporter l'idée que tu ai des problèmes, ça me rends malheureux, je veux dire triste...euh non...

Nata : Oui, mais t'était vraimant obligé de t'incruster chez moi comme ça ?

Maxi : Ouais...sur le coup j'était vraiment un abrutit.

Nata : Mais non, ne dis pas ça. Tu n'est pas abrutit, ni idiot. Et puis tu sais, je trouve ça plutôt mignon de ta part d'être venu chez moi parce que tu t'inquiétait pour moi...

Maxi : Vraiment ? Merci...(Il rougit)

Il s'approcha de moi, de mon visage plutôt. C'est comme si mes lèvres étaient devenues ses cibles. Je m'approcha moi aussi, doucement.

Quand, soudain ! Thomas débarqua dans la chambre.

Thomas : Nata ? Ca va ?! J'ai entendu crier alors...Oh, je vous dérange peut-être ?

Maxi : Salut Thomas...Comment ça va, toi ? (Dit-il en s'écartant et en se passant sa main dans ses cheveux, l'air géné...)

Nata : Thomas, tu peux...nous laisser ?

Thomas : Pas de problèmes...tourteraux.

Il referma la porte.

Nata : Maxi, je ne t'es pas fait trop mal, au fait ?

Maxi : Si, un peu. Mais ne t'en fait pas, ça partira bien un jour.

Nata : Oh mon pauvre ! Attends, je crois qu'on a de la glace dans le congélo.

Je sortis de ma chambre et recroisa Thomas qui se préparait un verre de jus dans la cuisine.

Thomas : Alors, qu'est ce qui t'amène ? Maxi est repartit par la fenêtre ? :p

Nata : Ne dis pas n'importe quoi, il est pas encore parti et je vais lui chercher de la glace. Tout à l'heure, je l'ai frappé un peu trop fort...

Thomas : De la glace ? Je crois qu'on en a.

J'ouvris le congélo et pris deux bacs à glaçons. Je pris ensuite un chiffon pour faire tomber les glaçons, et pour faire une poche à glace.

Thomas : Tu as de la chance que ce soit moi qui soit entré, parce que, si c'était papa...

Nata : J'aurais préféré qu'aucun de vous entre à ce moment là...(Je marmonna)

Thomas : J'ai tout entendu Nata, et si je n'étais pas rentré, vous vous serez embrassés comme des dingues...

Nata : Nooon ! Pas du tout ! (enfin pas jusque là...).

Thomas : Tu peux courir pour je crois ça.

Nata : J'avais oublié que Monsieur était expert en amour.

Il me tira la langue, je fit ensuite la même chose et repartis un haut.


 

Chapitre 11 :

(Je vous fais pas le résumé, vous l'avez juste en haut ;)  )

Maxi regardais une photo, il avait l'air admiratif.

Maxi : Une question, c'est ton père, ta mère, Thomas et toi sur cette photo ?

 Nata : Oui, mais elle est vieille cette photo. Ma mère est partie en Inde, il y a longtemps que je ne l'aie pas vue. Je crois que ça fait 12 ou 13 ans qu'elle est partie.

Maxi : Waouh ! Incroyable ! Mon père est en Inde lui aussi !

Nata : Tu crois qu'ils se sont croisés ?

Maxi : Possible, ça serait vraiment trop cool !

Nata : Ouais, quoi qu'il en soit, tiens, voici une poche de glaçons pour ta bosse. Je t'en prie, garde-la.

Maxi : Merci beaucoup, Nata. Alors, on se dit à après-demain si j'ai bien compris.

Nata : C'est ça. Mais au fait ! J'alais oublié que Grégorio veut la choré et la chanson après-demain, comment on va faire ?!

Maxi : Ne t'en fais pas, on les travaillera le matin. Allez au revoir.

Nata : Au revoir...

Je me laissa tomber sur mon lit, j'essayais d'imaginer se qui venait de ce passer si Thomas n'était pas entré : Maxi m'aurait embrassé et moi aussi je l'aurais embrassé. On serais peut-être ensembles si ça se trouve. Nan, enfin...je sais pas. Une chose était claire, il était tombé vraiment amoureux de moi.

(Vous connaissez beaucoup de gens qui prennent une échelle pour vous rendre visite ? Moi, en général je prend plutôt la porte...)

Mais si tombe moi aussi amoureuse de lui, Ludmila ne me le pardonnera pas(jalouse) et si papa sait ça, adieu le studio pour moi.

(Vous venez de gagner le prix des rimes !) 

...................................le lendemain matin....................................

Je me leva, enfin plutôt me réveilla ce matin parce qu'on avait sonné. Mon prère était déjà parti car il avait une urgence.

Je m'habilla en vitesse et je descendis les ecaliers. Je me rua vers la porte et découvris avec ma plus grande surprise, Villù !

Villù : Salut, je te dérange ?

Nata : Non, non. Entre. Qu'est ce qui t'amène ?

Villù : Eh bien, je ne sais pas si tu es au courant, mais maintenant ton père et mon père sont collègues !

Nata : Ah ouais, non j'apprends un truc là.

Villù : Du coup, je disais que vu que nos pères travaillent ensemble, pourrait passer plus de temps toutes ensemble, nous aussi, qu'en dis-tu Nata ?

Nata : Oui, c'est une bonne idée. Mais tu as dis "toutes" ?

Villù : Oui ! Tu seras la bienvenue dans notre "groupe de filles". Je suis sûre que ça ne dérangera personne. Et en plus ça te permettera de passer moins de temps avec cette tarentule de Ludmila.

Nata : C'est d'accord ! Amies ?

Villù :  Amies ! Mais encore une question.

Nata : Je t'écoutes. Vas-y.

Villù : Pourquoi tu n'es pas venue hier ?

Nata : Je ne suis pas venue hier car j'ai des problèmes personels, et je ne serais pas là non plus demain.

Villù : Un problèmes personnels, hein ? Hum...Un problème avec un garçon ?

Nata : Pourquoi tu dis ça ?

Villù : Beh, tu sais je sais reconnaître ce genres de choses, tu vois entre Thomas, Diego et Léon, j'ai eu le temps d'apprendre...

Nata : Eh bien tu sais, maintenat qu'on est amies toutes les deux, je te dois de tout te raconter...Vas-y, suis-moi.

 
 

Chapitre 12 :

Je la conduis dans ma chambre, histoire qu'on puisse s'asseoir.

Nata : Tu sais à quel point c'est dur de nier des sentiments ?

Villù : Oui...

Nata : Et si quelqu'un s'incrustait chez toi, un peu précipitement et essayais...disons...de t'embrasser..Et que quelqu'un rentrait à ce moment Quelle serais ta réaction ?

Villù : Euh...je sais pas moi. Mais pourquoi toutes ces questions ? Mais ça me rappelle une fois, Fran m'avais un coup comme ça...Nan ! Ne me dis pas que Maxi t'as rendu visite et qu'il a essayé te t'embrasser et qu'en plus quelqu'un vous a interrompu !!!

Nata : Oui, d'accord...MAIS QUI TE DIS QUE C'EST MAXI ???!!!!

Villù : Alors, de un, a chaque fois qu'il te voit, il fait des conneries, de deux, il rougis c'est incroyable j'ai jamais vu ça ! Et de trois il te dévore CARREMENT des yeux ! Et pour être franche, je n'ai jamais vu deux personnes rester aussi longtemps séparé alors qu'elles sont incroyablement amoureuses l'une de l'autre ! ^^

Nata : Alors, Madame l'experte, qui tu dis que Moi je suis amoureuse de lui ?

Villù : Quand il a essayé de t'embrasser, tu ne le pas repoussé, n'est-ce -pas ?

Nata : Non...Mais, j'étais surprise....

Villù ria devant l'air grognon de son amie...

Nata : Et en plus, c'est Thomas qui nous a interrompu....

Villù : Quel casseur d'ambiance celui-là ! Et j'en connais quelque chose !

Nata : Tu l'a dis...Et j'ai quelque chose que je devrais pas dire, c'est à propos de Thomas, mais ventard comme il est, je paris qu'il l'a déjà dit à Broadway.

Villù : Continue................

Nata : Tu sais que Thomas à craqué pour Léna !!

Villù : Nan sérieux ?!! Un bon moyen de chantage....

Je continua à discuter avec Villù jusqu'à ce que mon père rentre et lui dise bonjour Il en profita pour lui proposer de rester manger, étant donné que Thomas restait manger au RestoBen...

Ils ne parlaient que d'éconnomie, de German. Je me demandais comment Villù pouvait supporter tout ça....A moins que ce soit pour faire plaisir à mon père, je devrais y songer un jour où il sera de mauvais poil...

Finalement, il était 5 heures de l'après midi quand Villù repartie chez elle.

...................le lendemain..................

PDV de Nata : (Et oui encore....)

Génial ! Enfin, je vais pouvoir retourner au studio ! Enfin, musique chérie me voilà !!

Je regardais mon réveil. 10 h 50 !

Je dois me grouiller ! Je m'habilla avec une vitesse, je ne pris même pas la peine de manger. Je sortis de chez moi, en courant le long de la rue. Je courais à fond, lorsque je heurta quelque chose...ou plutôt quelqu'un.....


 

Chapitre 13 :

Nata : Ludmila ? O...oh je suis désolé !

Ludmila : Nan mais franchement, Nata tu sert vraiment à rien !

Nata : Tu sais quoi Ludmila. Je dois partir, alors à la prochaine !

Ludmila : Ah, c'est ça, vas-y pars ! Je me vengerai Nata ! Ah, l'univers entiers est contre toi Ludmila.

Je me dirigeais vers la bande de Fran, Cami, Léna et Villù. Je tapota l'épaule de Villù, elle se retourna et me fit la bise.

Villù : Je vous ai raconté que le père de Nata et le mien travaillent ensemble ?

Camila : Oh oui, au moins 50 fois ! Pitié !

Francesca : Ai pitié de nous, pas une 51 ème fois !

Villù : Calme ! Je voulais juste vous poser une question ! Est-ce que vous accepteriez que Nata intègre notre bande ?

Léna : Oh oui ! Avec joie !

Camila : Bievenue Nata.

??? : Je pourrais parler à Nata ?

Villù : (Sursaut) Ah ! Maxi, tu m'as fais peur !

Maxi : Désolé Villù...Alors ?

Francesca : Oui, vas-y.

Maxi : Euh...je voudrais lui parler en parler en privé.

Villù : Oh là là ! Tu es capricieux, tu sais !

Elles partirent toutes vers un grand chêne. Toutes observaient attentivement la scène, de manière très indiscrète.

Maxi : Miles pardons pour hier, encore...

Nata : On a vraiment essayé de s'embrasser ?

Maxi : Oui, enfin je crois...Dis comment je peux me faire pardonner ?

Nata : C'est très simple, tu vois, mon anniversaire est dans 3 jours et je pense que je vais faire une petite fête, alors si tu veux venir ? C'est à 20 heures.

Maxi : Je viendrai. Encore une question. Tu as vendu la mêche pour hier ?

Nata : Ouais, à Villù...Ne te fâches pas !

Maxi : Je n'ai pas l'intention de me fâcher...Je l'ai vendu à Léon. Il m'a même dit qu'il n'avait jamais vu deux personnes s'aimer autant et être séparés...

Nata : (Je rougis) Moi aussi elle m'a dit ça !

Maxi : Ah ouais, je vois le genre...Ils se sont fait passé le mot en fait...

Nata : Quoi qu'il en soit, tu viendras à ma fête ?

Maxi : Je te le promets. Et je tiens toujours certaines promesses...

Nata : Câlin qui met mal à l'aise ?

Maxi : Câlin qui met mal à l'aise. :)

PDV de Villù : (Miracle !)

A mon avis, ces deux là ne resteront pas si longtemps séparés...

PDV de Nata :

Après cette bref petit moment de que dale*, je me rendais maintenant au cours d'Angie qui devait débuter dans 2 minutes...

 * Moment(s) où on comprend pas trop ce qui se passe....Vive les mots inventés !

Je posa mon sac sur le banc de la salle et Angie commença : elle fit faire à tout le monde des exercices de voix. Après, elle nous fit tous chanter

Ven y Canta, à ce propos, il faut que j'arrange mes notes aigues...

Après les cours ( truc stupide mais faut faire avec : ) ) j'aime bien regarder comment ce comportent les gens. De loin, je voyais les pitis serets des gens. Genre la couleur rouge de Ludmila quand elle parle à Fédé, ou The piti air de Broadway quand Cami lui entâme la conversation, ils sont vraiment trop choux !

Bref, peu avant, Francesca m'avait proposé que je boive un truc avec elle au RestoBen. Et figurez-vous que j'avais accepté ! Alors quand faut y aller, faut y aller !


 

PDV de Francesca :

Je me trouvais au RestoBen depuis environ10 minutes. Pas de Nata en vue...Ah, Nata toujours en train de faire quelque chose ! Quelle débordée !

Ah ! La voilà enfin ! Elle souria en m'aperçevant.

Francesca : Dis donc Nata, je sais que ton père est ingénieur,mais on ne peut pas en dire autant de toi par contre ! :)

Nata : Nananana ! J'avais des trucs à faire figures-toi.

Francesca : Comme quoi ?

Nata : Attends, on devrait d'abord s'asseoir. Je crois que sinon on n'aura plus de place. Alors, si tu veux pas qu'on mange par terre...

Francesca : Ahhh, le fameux "changement de sujet".

On s'assit à une table, et Nata commença à me raconter sa journée :

Nata : Alors en premier, convaincre M. Rivera de pouvoir organiser une fête à la maison pour mon anniversaire, et tu vois ça, ça te prends déjà la moitié de la journée...

Francesca : Et alors, tu a réussi ?

Nata : Mouais...à moitié, tu sais mon père n'est pas si facile. Je ne sais jamais si il est content ou fâché, enfin il se montre beaucoup plus en colère que agréable ! Et quand ça arrive, il vaut mieux avoir un casque sur soi, sinon tu te prends tout dans la face, et ça fait mal !

Francesca : Ohh, ma pauvre, je te plains sur le coup.

Nata : Et pour conclure, sucomber aux besoins de Ludmila...

Francesca : Attends, je comprends pas. Qu'est ce qu'elle t'a promis pour que tu la serve de cette façon ?

Nata : Eh bien, mon père veut que je reste avec des gens comme elle, il dit qu'ils ont une bonne influence sur moi. Et si je ne le fais pas, mon père va parler au père de Ludmila pour qu'il me banisse définitivement du studio, et en plus de ça, je devrais suivre des études de médcine. Car mon père n'a pas réussi dans ce domaine.

Francecsa : Sur le coup, je comprends mieux. Tu me diras, ton père s'est rattrapé. Je trouve ça injuste que ton père te menace comme ça ! Et Thomas n'y a pas droit lui aussi ?

Nata : Oh bah si, lui, c'est avec Fédérico qu'il doit rester.

Francesca: Oh, beh ça va, il est moins chiant. J'aurais dû m'en douter, ton père veut que vous restiez avec les deux "novas" du studio.

Nata : C'est ça. Oh, voilà Lucas.

Lucas : Alors les filles, qu'est ce que je vous sers ?

Francesca : Pour moi se sera un sandwich au thon.

Nata : La même chose pour moi sil te plait.

Lucas : D'accord. Mais au fait...j'ai dû louper un épisode, depuis quand vous êtes amies toutes les deux ?

Francesca : Et toi, depuis quand tu t'inquiète de la vie des gens ? Lucas, tu a deux commandes à faire passer pour deux belles filles, alors zou !

Nata : Pourquoi tu l'envoie bouler comme ça ?

Francesca : Oh, t'inquiètes pas avec moi il a l'habitude.

Nata : Je voulais aussi te demander une chose.

Francesca : Je t'écoute.

Nata : Tu sais la fête de mon anniversaire, eh bien  je me demandais si tu accepterais que je t'invite chez moi ?

Francesca : Bien sûr !! Mais attends une seconde, il y aura Ludmila ?

Nata : Euh...Nan, nan.

Francesca : Et tu a invité qui d'autre ?

Nata : Normalement, il y aura Villù toi et Maxi. Pour l'instant.

Francesca : Ah ok. Et je pourrais venir avec Marco ?

Nata : Bien sûr ! Tout le monde est le bienvenu, sauf Ludmila.

Francesca : D'accord, je peux t'aider à demander à d'autres personnes ?

Nata : Oui, ça serais cool ! Merci !

On continua à discuter (ouais, c'est le même scénario que pour Villù mais manque d'inspiration), on ria toutes les deux. Lucas nous apporta les sandwichs. Nous finissâmes de manger, et puis on se fit la bise pour se dire au revoir, car on n'avait pas cours l'après-midi car Grégorio était malade. (Ouiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!)

PDV de Nata :

Je rentrais chez moi en marchant rapidement, je n'avais pas envie de me retrouver avec les insupportables ramarques de mon père. Je poussa la porte et dis bonjour à mon père. Il m'interpella, encoreeeee...

Père : Nata, j'aimerais que l'on parle un peu plus de cette histoire de fête, pour ton aniversaire.

Nata : Quoi ? Il y a un problème ? Je n'ai pas le droit de faire de fête, c'est ça ?

Père : Je n'ai jamais dis ça ! Nata, j'aimerais savoir qui tu inviteras à cette fête.

Nata : Oh, pardon, je...c'est que. Nan, rien je, je suis fatiguée. Ah oui, pour la fête...euh...il y aura mes amis.

Père : Quels amis ? J'espère au moins qu'il y aura Ludmila.

Nata : Papa, tu sais, à force, je n'aprécie plus tellement Ludmila, elle-elle. Elle a changé depuis le début de l'année.

Père : Que veux-tu dire par là ? Par elle a changée ?

Nata : Avant, elle était moins exigeante et maintenant, elle me prend pour une boniche.

Père : OH, je t'en prie n'éxagère pas ! Elle n'est pas si HORRIBLE que tu le prétends !

Nata : Papa ! Tu ne comprends pas ! Je ne plaisante pas !

Père : Mais moi non plus figure-toi ! Alors je veux que tu invite Ludmila !

Nata : ...

Je montais les escaliers, j'avais les larmes aux yeux, je suis faible, une vrai fontaine. Mon frère me tapota l'épaule.

Thomas : Nata ? Qu'est ce qu'il y a ?

Nata : Thomas, c'est pas le moment...

Thomas : Nan, mais dis-moi...

Nata : Thomas, je t'ai dis de te TAIRE ! Tu comprends pas ou quoi ?!

Thomas : Mais...je...je...

Je claqua ma porte presque au point de la briser totalement. Je m'effondra en larmes sur mon lit. Personne ne ME comprenait ! J'en ai marre !


 

Chapitre 14 :

PDV de Thomas :

Les mots de Nata m'avaient beaucoup bléssé, mais en tant que jumeau, je ressens ce qu'elle ressent par moments. Et là, je ressens une sorte de colère et une tristesse...hum...C'est ça !! Papa et elle s'étaient encore disputés !

Thomas : (Peut-être que je ne devrais pas entrer, elle a besoin d'être seule. Tu as vu comment elle t'as parlé tout à l'heure. Il faut qu'elle se console toute seule... NON ! Voyons Thomas, c'est ta soeur jumelle, il faut que tu aille la consoler ! C'est ton devoir en tant que frère et en tant qu'aîné !)

J'entra doucement dans la chambre de ma soeur, et déclara :

Thomas : Je ressens un gros chagrin dans le petit coeur brisé de ma soeur...

Nata : (en pleurs) ...Thomas...

Je m'approcha doucement, et à la vitesse de l'éclair Nata se retourna et me serra dans ses bras.

Nata : Excuse-moi ! J-je ne...je ne sais pas ce qui m'as pris de te parler comme ça ! Je ne mérite vraiment pas un frère aussi attentionné...

Thomas : Je te défens de dire ça ! Nata...je suis venu te consoler car je sais que t'as relation avec papa est assez tendue depuis le départ de maman. Alors, c'est rien, je me fais que mon boulot de frère. Sèche tes petites larmes.

Nata : Je ne trouve pas les mots qui conviennent pour répondre à ce que tu vient de dire...Je suis une vrai nulle ! :)

Thomas : D'accord...alors, on est nuls tout les deux ! ^^

Nata : Tu es incroyable...c'est vrai, quoi qu'il t'arrives, tu reste toujours avec le sourire. Tu es une vrai merveille, tu reste toujours debout, et si tu tombe, tu te relève tout le temps, sans rien dire. ...Je t'admire, mon frère est le frère que tout le monde rêve d'avoir.

Thomas :...Arrètes, sinon, moi aussi je vais me mettre à pleurer.

Nata : Tiens, tiens...je ne savais pas que mon frère était une fontaine lui aussi. ^^

Thomas: Je t'aime soeurette.

Nata : Moi aussi, fréro...

On se fit un gros câlin.

(Petite scène de joie, enfin, pour moi)


 

................................Le lendemain......................................

PDV de Nata :

Ca y est ! Plus que 2 jours avant ma grande fête d'anniversaire ! Et en plus, je suis de super bonne humeur pour faire cours de danse avec Grégorio, désormais, plus aucunes de ces remarques ne m'atteindras à présent ! Quant à Ludmila, elle peut toujours tenir ses conversations longues et ennuyeuses avec ses miroirs chéris ! Et une dernière chose, c'est aujourd'hui que la représentation à lieu, j'ai hâte d'avoir une bonne note !

Je m'habilla et descendis les escaliers, je croisa Thomas en passant.

Thomas : Qu'est ce qui te rends si heureuse ?

Nata : Pleins de bonnes raisons crois-moi.

Thomas : Alors, ça va mieux depuis hier ?

Nata : Beaucoup mieux ! Et toi, tu as bien dormi ?

Thomas : Oui, merci de te soucier de moi.

Nata : Bon je te laisse, je dois y aller, bon apétit.

Je referma la porte derrière moi, je mis mon casque sur les oreilles et me mis à danser au rythme de la musique que j'écoutais. J'arriva devant le studio quand une nouvelle que j'avais perdue de mémoire : Ludmila devait venir à ma fête.

A ce moment précis, une partie de ma joie s'était évanouie Il fallait que je prévienne les filles, Francesca va être déçue...

J'alla les voir :

Nata : Hey salut, comment ça va ?

Léna : Bien et toi, ça n'as pas l'air d'aller.

Nata : Non, ça va c'est juste que mon père m'as littéralement obligé à inviter Ludmila à ma fête, et ça m'agace !

Franesca : Oh non ! Pas elle encore !

Nata : Désolé Fran, mais c'est pour la bonne cause, pour mon père une fête sans Ludmila, ce n'est pas une fête.

Camila : Faudra ce contenter de ce qu'on aura . Ah au fait, tu compte inviter qui d'autre alors ?

Nata : Ah oui, j'ai bien réfléchis et je compte inviter tout le monde. Comme ça, personne ne sera déçu que quelqu'un ne vienne pas.

Francesca : Je trouve cette idée géniale, qu'est ce que tu en dis Villù ?

Villù : Attends...Ca veut dire que tu compte mettre Thomas, Léon et Diego dans la même pièce ? Autant casser la maison en miette tout de suite !

Nata : Villù, Thomas est mon frère et il saura se tenir crois-moi sur paroles.

Villù : Si tu le dis, alors...Et moi je saurais tenir Léon.

Léna : Et au fait, qui a hâte de montrer sa chanson et sa chorée ?

Francesca : Tu parles ! J'y ai pensé toute la muit !

Villù : Encore faudrait que Grégorio se décide à venir aujourd'hui.

Camila : Tant qu'à faire, qu'il vienne avec la bonne humeur.

Nata : Grégorio de bonne humeur ? Tu peux courir pour, que ça arrive !

Léna : C'est vrai que ça semble quand même incensé !

Francesca : A ce propos, il faut qu'on n'y aille, non ?

Villù : Ouais, vous venez ?

On se précipita dans la salle de danse. Il n'y avait pas encore Grégorio, et à vrai dire cela ce voyait, l'ambiance était calme au lieu de tendue avec Grégorio.

Diego, Thomas, Broadway, Maxi, Andrès, Marco, Ludmila et Léon étaient déjà arrivés. On se dispersa pour aller voir ou disctuer avec nos partenaires de danse. J'allais donc voir Maxi.

Maxi : Alors ? Prête ?

Nata : Oui !! Et toi ?

Maxi : Oui !! Tu a révisé la chorée et la chanson ?

Nata : Ah !! Je suis une vrai gourde ! J'ai pas pensé !

Maxi : Ah, alors il va falloir qu'on se fasse confiance (Dit-il en me faisant un clin d'oeil).

Nata : Oui...( Je rougis)


PDV du narrateur :

Grégorio entra soudainement dans la salle de danse en trombe, il criait de se mettre en place. Une fois tout le monde arrivé et bien en place , les représantations commencèrent : Il y eu d'abords Thomas et Diego, ils ont eu un 17/20. Puis ensuite vient le tour de Fédérico et Ludmila 19/20, Andrès et Léna 18,5/20, Léon et Villù 20/20, Broadway et Camila 20/20, Francecsa et Marco 20/20 et puis vient le tour de Maxi et Nata.........

Ils montaient sur la scène, Maxi posa son ordinateur et lança la musique.

Ils se mettent à danser, à plusieurs reprises, Maxi fit tournoyer Nata, et quand cette dernière le regardait dans les yeux, il avait une sorte d'étincelle qui brillait en lui et quand Nata la fixait, elle ressantait es milliers de petits frissons dans son dos. Vers la fin de la chanson, Maxi fit tourner une dernière fois sa partenaire avant de la renverser doucement et de lui faire un grand sourire. Nata rougissa à vue d'oeil.

Grégorio : Bien, c'était...c'était pas mal, je vous met 20/20.

Francesca : Beh alors pourquoi vous dites que c'était pas mal ?

Grégorio : On vous a demandé quelque chose à vous ?

Francecsca : ...


PDV de Maxi :

Nata : Ouuiiii ! On a eu un 20 !

Elle me serra dans ces bras et je la serra à mon tour très fort, ce moment parut magique et interminable. Je me sentit rougir à un point que je ne connaissais pas chez moi. Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin et elle se décolla de moi. Je me sentit tout bizarre et tout mou.

Elle me fit un grand sourire et descendit de la scène.

Je sentit une grande joie m'envahir, c'est de la véritable euphorie que je ressentait ! Je mourrais d'envie de demander à Nata d'être ma copine, mais comment ? Elle était bien trop sur la défensive quand elle me parlait ! Le seul moyen de l'approcher était de la surprendre...


PDV de Nata :

Francecsa : Alors, contente ?

Nata : Oui, tu peux savoir à quel point !

Francecsa : Oh que si je peux, Marco m'a aussi serré très fort, alors je sais ce que tu ressens.

Nata : Quoi, mais je croyais que tu parlais du spectacle moi !

Francesca : Oh ! Mais moi je croyais que tu parlais de ce qui se passe entre Maxi et toi.

Nata : Mais il y a rien entre lui et moi !

Francesca : Humm...Comme tu veux, mais moi je pense toujours le contraire.

Nata : Pense ce que tu veux, moi je dis la vérité !

Francesca : Tu sais quoi, Nata ? Je pense que tu es trop sur la défensive, c'est pour ça que Maxi ne peux pas t'aborder et te faire des avances parfois.

Nata : Depuis quand tu es ma conseillère ?

Francesca : Depuis que t'es pas douée en amour. ^^

Nata : C'est ça...

Grégorio : Bon, cessez donc raffût ! Dans l'ensemble, la classe a bien travaillé, bon a présent le cours est terminé. Alors du vent ! Et plus vite que ça !!

Maxi : Vient là toi, j'ai quelque chose à te montrer !

Nata : Quoi ?! Mais attends j'ai...

Maxi : Ça attendra !

Il me tira par le bras tellement fort que j'ai faillit tomber à un moment. Il me traîna jusqu'à l'entrée du studio, je me demandais vraiment ce qu'il avait en tête...

Maxi : Nata écoute je voulais te dire que j'étais vraiment content pour la note que l'on a obtenu, on s'est fait confiance.

Nata : Et c'est pour me dire ça que tu m'as amené jusqu'ici ?! Tu sais, je te comprends pas parfois Maxi.

Maxi : Je veux te dire...

Nata : Attends 2 secondes, tu veux pas qu'on se décale ? J'ai le soleil en plein dans les yeux. D'accord, mais fais vite, je suis débordé.

Maxi : (Ok...) Maintenant que tu n'as plus de lumière dans tes beaux yeux...

Nata : Pardon ?!

Maxi : Maintenant que tu n'as plus de lumière, tu y vois clair ?

Nata : Euh...oui...(Bizarre comme question).

Maxi : Et tu es sûr ?

Nata : Oui ! Mais viens-en au fait !

Maxi : Et tu aimes ce que tu vois ? Parce moi, j'adore.

Sûr ce, il plaqua ses lèvres contre les miennes. Ses lèvres...ses lèvres étaient si douces, à ce moment précis, je me sentais légère, j'avais l'impression que le sol s'éfondrait sous mes pieds, c'est juste magique...

??? : Nata, ma petite Nata, tu n'immagines même pas quelles immerdes tu vas t'attirer en faisant cela.....


Chapitre 15 :

PDV de Francesca :

Nata, la prochaine fois que tu me diras quelque chose de négatif à propos de Maxi, je veux des preuves...


PDV de Nata :

NON ! Il faut que je me reprenne !

Nata : Qu'est ce que tu viens de faire ?!

Maxi : Un truc qui fallait pas apparement...

Nata : C'est ça tu as bien compris ! Alors maintenant lâche-moi les chaussures !

Maxi : Je crois qu'on dit plutôt des baskets...

Nata : On s'en fou !  Les baskets sont aussi des chaussures que je sache ! Tu te rends compte que si mon père avait été là, je pouvais dire "bye bye" au studio et pour la vie entière ! Et part ta faute en plus !

Maxi : Nata je te jure que je ne voulais...

Nata : Tu ne voulais pas quoi ? Faire ce que tu viens de faire ? Désolé Maxi mais je ne peux pas te pardonner ça, du moins pas cette fois.

Maxi : Nata...

Nata : Tu pourras quand même venir à ma fête, après tout, je ne suis pas comme Ludmila, je n'invite pas que les meilleurs...


PDV de Maxi :

Quoi ?! Pas que les meilleurs, c'est à dire que je suis quoi moi ?! Elle doit penser que je ne suis qu'un pauvre type, un ringard, un pourri...

Quand je pense à tout cela, j'ai envie de pleurer. Cette fois, j'avais vraiment tout gâché !

Nata : Et ne t'avise même pas de me suivre ! Et crois-moi cette fois je verouillerais mes fenêtres !

Elle se mit à courir vers chez elle, je ne l'avais jamais vu courir aussi vite, si seulement ce n'était pas pour me fuir...

Je fis de même, mais je ne revenais pas chez moi en courant, je marchais lentement, avec un air triste quand je penser à ce que je venais de faire. J'étais un vrai monstre !

Au moment où j'allais pousser la porte de chez moi, j'entendis un cri. Mais pas un cri de terreur, non, cela ressemblait plus à un cri de joie. Mes espoirs de réjouissance s'évanouirent qund je reconnu la voix aïgue de Nata :

Nata : Fédérico ! Que fais-tu ici ?! Tu habite super loin !

Fédérico : Je suis venu te voir car j'habite à nouveau avec Villù !

Nata : Et c'est quoi le rapport avec ce que je viens de dire, là ?

Fédérico : Et bien Villù, German, Angie, Olga et Ramaillo vont déménager ici même !

Il lui montra la maison qu'il y avait entre celle de Nata et la mienne.

Nata : Et donc on sera tous voisins ! Mais c'est génal, ça ! J'ai trop hâte !

Fédérico : Mais il y a encore un problème...

Nata : Quoi ? Comment ça un problème ?

Fédérico : Eh bien, le temps que les déménageurs finissent d'embarquer les meubles et de les envoyer ici, ça prendra un certain temps. Et l'hôtel qu'avait pour habitude de fréquenter German est fermé pour des rénovations, donc on a pas d'endroit pour se loger et ce moment.

Nata : Ah, je vois. En gros tu me demande si je peux vous héberger quelques jours, c'est ça ?

Fédérico : En gros, oui, que 2 jours, ça t'irai ?

Nata : Parfait ! Mais je ne sais pas si on aura assez de places pour Olga et Ramaillo...

Fédérico : Oh ne t'en fais pas pour ça, Angie leur a proposé de dormir chez elle, donc il n'y aura que Villù, German et moi.

Nata : Oh alors très bien ce sera avec joie ! MAIS, il reste encore un chose, mon père...

Fédérico : Oh alors ton père est du même caractère que celui de Villù ?

Nata : Exact, tu peux rester et venir avec moi le convaincre s'il te plaît.

Fédérico : Euh...je sais pas si j'ai le temps...

Nata : Aller ! Por favor ! Si tu ne viens pas, il n'acceptera jamais !

Fédérico : Bon d'accord, mais c'est bien parce que c'est toi. ^^

Nan ! Je ne pouvais pas le croire ! Nata avait invité Fédérico chez elle !! J'avais trouvé ma nouvelle proie...


PDV de Nata :

On entra dans la maison, mon père était sur le canapé.

Fédérico : Wha ! Ton intérieur est magnifique ! Mais pas aussi magnifique que moi. (Il haussa ses sourcils)

Nata : Quel prétentieux !

Fédérico : Quoi, après tout je suis la star de You-Mix. :)

Nata : Espèce de vantard, tu peux pas t'en empêcher, hein ! :) Et je te rapelle qu'il y a aussi Villù avec You-Mix.

Fédérico : Oui, mais...mais...

Nata : Mais quoi ?^^ Bon bref, viens que je te présente mon père.

Mon père se retourna et se leva d'un bond. Il avait un air étonné, moi en revanche ça ne m'étonnais pas du tout. Je m'empressa de tout lui raconter avant qu'il pique sa crise.

Nata : Papa je te présente Fédérico, Fédé voici mon père.

Père : Ravi de t'avoir rencontrer maintenant...

Nata : Non, papa je t'ai amené Fédérico car il est en situation de détresse...

Pére : Mais écoute Nata...

Nata : Nan mais papa, il habite avec German et Villù maintenant et ils déménagent et ils n'ont pas d'endroit où aller.

Père : L'hôtel en bas de la rue ne peux pas les héberger ?

Nata : Tu sais bien qu'il est fermé pour des rénovations.

Père : Ah...

Nata : Alors s'il te plait, ne fais pas ton rabat-joie. Mais je souhaiterais qu'on l'héberge lui et German et Villù.

Père : Comment ça, l'héberger ?

Nata : Tu sais quand une ou plusieurs personnes se retrouve sans abri et qu'ils demande à quelqu'un de...comment, vivre avec eux pendant un certain temps.

Père : Oui, je sais ce que veux dire "héberger" !

Nata : Bah alors ! Juste 2 petits jours ! Et puis comme ça tu pourra parler plus facilement avec German d'éconnomies et de tout vos trucs bizzares d'hommes d'affaires très importants.

Père : Bon d'acord...Mais 2 jours pas PLUS !

Nata : Ahhhh ! Je t'adore ! Bon viens Fédé, je vais annonçer la nouvelle à Thomas.

Fédérico : D'acc je te suis.

On monta tout les deux et je tapa à la porte de la chambre de mon frère. J'entendis un "ENTREZ". Alors je poussa la porte.

Mon frère fit une tête d'étonné quand il vit Fédérico à côté de moi.

Thomas : Tu sais Fédérico, j'aimerais avoir autant de chance avec les filles que toi.

Fédérico : Ouais je sais, je suis irrésible.

Nata :Je trouve que tu en fais beaucoup trop ! Nan Thomas je suis venue te prévenir car Fédé, German et Villù vont venir habiter ici pendant 2 jours.

Thomas : Trop bien ! Et...(Coupé)

Nata : Hein..hein...hein. Villù dormira dans MA chambre ! :)

Thomas: Ah...

Fédérico : Et donc je dormirai dans la tienne, si j'ai bien compris. (En s'adressant à Thomas...)

Nata : Oui, et pas l'inverse. Gros malins, j'ai bien compris où vous voulez en venir.

Fédérico : Moi perso ça me dérange pas plus que ça de dormir dans la chambre de ton frère plutôt que dans la tienne.

Nata : Hé ! Dis que je suis moche, tant que t'y es !

Thomas : Y'a que la vérité qui blesse !^^

Nata : Très bien !

Je partis et m'enferma dans ma chambre, je saisi tous mes oreillers (j'en ai au moins une dizaine).

Fédérico : Qu'est ce qu'elle fait à ton avis ?

Thomas : Tu crois qu'on l'a contrarié ?

Soudain je sortis en claquant la porte et en blançant mes 10 oreillers sur les garçons en criant "VENGEANCE !"

Fédérico : Ahhhhhh !!!

On s'embarqua dans une folle bataille de polochons qui ne se termina que quand Thomas se mangea LITTÉRALEMENT un oreiller dans la tête, l'oreiller s'était déchiré juste avant de se le prendre en pleine face. Résultat, il avait la bouche pleine de plumes. Il les recracha dans sa poubelle. Il se vangea de Fédérico en lui jetant un traversin, ce dernier tomba du lit sous l'effet de surprise.

Fédérico se releva et on éclata de rire tout les trois. C'était vraiment bien !

Fédérico : Bon je vous laisse deux secondes, je dois appeler Villù pour a prévenir de faire sa valise et puis je reviens.Villù vous devrez nous

Il appela donc la fameuse Villù et revient.

Nata : Fédé, il y a néanmoins une condition pour que tu puisse habiter chez moi.

Fédérico : J'ai peur, mais vas-y, dis-moi.

Nata : Eh bien toi et Villù vous devrez nous aider à préparer notre fête en échange de votre hébergement chez nous.

Fédérico : D'accord...

Thomas : Hé, on dit pas ça pour plaisanter, vous enfin, surtout toi, devez nous aider je sais que tu es un peu fénéant parfois.

Nata : Et surtout prétentieux.

Fédérico : Quel rapport avec ce qu'il vient de dire ?

Nata : Je sais pas mais j'aime taquiner les gens ! ^^

Fédérico : Oui, oui. Je vais vous aider.

Thomas : Génial !

Fédérico : A qui ça dit de chanter un truc ?

Nata : Ouais ! Mais qu'est ce qu'on peut chanter ?

Thomas : Hum....

Fédérico : Moi je vote pour Luz, Cámara, Acción.

Thomas : Tu dis ça parce que c'est ta chanson.

Fédérico : Nan. Je dis ça parce que c'est la chanson fétiche de You-Mix en ce moment.

Nata : Ouais tu parles ! On dirait Ludmila en garçon, tiens en parlant d'elle, si tu nous laisse chanter au moins à la même fréquence que toi ta chanson, je ne dis rien à Ludmila.

Fédérico : Qu'est ce qu'elle à avoir avec ça ?

Nata : C'est simple, si tu nous laisse chanter nous aussi, je ne tourne pas ton séjour ici en séjour romantique. Que ce soit avec moi ou Villù.

Thomas : Le chantage, bien joué !

Fédérico : .....j'ai toujours pas compris....

Thomas : Nan mais je rêve !

Nata : Tu dis avoir toutes les filles à tes pieds, mais la seule qui est vraiment folle amoureuse de toi tu ne la vois même pas !!

Fédérico : Comment ? Ludmila est amoureuse de moi !

Thomas : OUI ! Et depuis que tu es revenu au studio !

Fédérico : Eh bien, pour une surprise, c'est une surprise !

Thomas : Oh la la...

Après la chanson, il était 18 h 30, donc il était temps d'acceuillir nos invités. Villù et German arrivèrent, German serra la main de mon père et ils commencèrent à discuter. Quant à Villù, elle arrivea avec sa valise et celle de Fédé.

 Nata : Depuis quand se sont les filles qui te font ta valise ?

Villù : Nan, nan, Fédérico avait déjà fait la sienne.

Thomas : Ah, bon laisse-moi te débarasser de tes affaires.

Villù : Merci Thomas.

Nata : Tu viens, on monte poser ta valise ?

Villù : Ouais j'arrive.

On monta donc toutes les deux à l'étage. Villù posa sa valise sur mon lit.

Nata : Villù, tu pourra nous aider à préparer notre fête ? On ira plus vite à quatre.

Villù : Oui, bien sûr ! Se serais avec joie. Et au fait, j'ai apporté de la musique. Tu sais ce que tu veux passer comme morceaux pour votre fête ?

Nata : Je pensais qu'on passerait plusieurs chansons de groupes qu'on pourrait tous chanter ensemble, et puis on passerait un slow pour détendre l'atmosphère.

Villù : Oui, je trouve ça bien Mais au cas où, j'ai aporté des chansons plus douces comme Podemos, ou encore des chansons rythmées comme Codigo Amistad.

Nata : Génial ! Et au fait, tu compte inviter Léon pour danser le slow ? (Dis-je avec un air taquineur)

Villù : QUOI ? Tu rigoles j'espère ! Non, non, non !

Nata : Pourquoi ? Je croyais que vous formez un couple tout les deux.

Villù : Oui mais...Nan pardon je dois t'expliquer. Alors, on était tout les dux dans le parc et se baladait tranquile, quand le téléphone de Léon sonne. Et tu sais quoi ?! C'était Lara !!

Nata : Aïe...

Villù : Et comme de par hasard, il doit s'absenter pour sa mécanicienne ! Alors il part, et moi je fais quoi pendant ce temps ? ABSOLUMENT RIEN !!

Il m'a laissé là au plan, comme une pauvre andouille ! Et le pire c'est quand partant il ne m'a même pas dit "à toute à l'heure" ou encore au revoir" !

Nata : Son appel devait être vraiment important pour qu'il te néglige comme ça.

Villù : Tu parles ! Il est allé rejoindre sa Lara, oui !

Nata : Tu sais quoi Villù, si il t'as vraiment fait ça, c'est qu'il ne te mérite pas !

Villù : Oui ! Oui, et franchement...

Nata : Ooui mais j'ai dit "si"...

Villù : Bon ! Arrêtons de parler de Léon, allons plutôt chanter avec les garçons !

Nata : Ouais !! :)