Chapitres 2 à 9 fiction 1
Chapitre 2 :
Maxi : Oui c’est moi et toi c’est Natalia…Attends je comprends pas le jeu là…Bref, tu as besoin d’aide pour la bouteille ?
Nata : Oui, enfin…non…euh vas-y !
Il donna un coup de poing dans la machine et…Miracle ! La bouteille d’eau tomba.
Il fit voler la bouteille dans sa main droite, et puis dans sa main gauche et il la donna à Nata.
Maxi : Et voilà, il faut vraiment dire à Pablo que ce vieux truc doit aller à la déchetterie.
Nata : Ouais c’est clair il a fait son temps ce vieux machin.
J’allais me diriger vers la salle de danse quand Maxi m’attrapa le poignet et me dis :
Maxi : Dis Nata, elle est pour toi au moins cette bouteille ?
Nata : Oui ! Oui, bien sûr…Tu sais quoi, j’ai cours avec Grégorio. Et, et tu connais Grégorio…
Maxi : Oui, je sais Nata. Je suis dans la même classe que toi depuis deux ans déjà.
Nata : Ah…oui deux ans déjà… (J’ai l’air d’une parfaite imbécile, oh là ! Vite, je dois m’éclipser !)
Ludmilla : Alors Nata qu’est ce tu fiches ?! Ca fait dix minutes que j’attends ! Maxi tu permets, je dois parler avec cette fourmi incapable de m’apporter de l’eau.
Maxi soupira et parti.
Ludmila : J’avais demandé de l’eau ambiante pas fraîche !
PDV de Maxi :
(Nata…elle se fait toujours avoir par la tarentule…j’aurais dû m’en douter que l’eau n’était pas pour elle.)
Andrès : Salut Maxi, qu’est ce que tu fais ?
Maxi : Oui, c’est bien Andrés. Mais tu vois je suis occupé là…
Andrès : Attends Maxi, je rêve ou tu regardes Nata ?
Maxi : Quoi ? Mais qu’est ce que tu racontes ? Non et puis, je regardais le distributeur.
Andrès : Mouais…Mouais, c’est ça…
Maxi : Oui, bon tu viens on va en danse, il paraît que Grégorio est de mauvais poil aujourd’hui.
Andrès : On va encore s’en prendre plein la tête…
Ils partirent tous au cours de Grégorio…
Grégorio : Allez dépêchez-vous bandes de limaces on a pas toute la journée ! Mettez-vous en place, on va répéter la chorégraphie. Aller, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 et 8. Andrès allez plus vite on dirait un sac de patates ! Francesca plus d’entrain, c’est mou ! Ludmila, c’est très bien.
Après des tonnes de répétitions interrompues, le cours de Grégorio se finit…
Chapitre 3 :
Grégorio : Une minute ! Pour la semaine prochaine, j’exige que vous fassiez un travail de chant et de danse par groupe de deux, et comme j’en ai marre de voir vos têtes d’enfants incapables alors, je vous laisse choisir…Oh et puis nan je vais décider moi-même. Alors, Camila/Broadway, Marco/Francesca, Léon/Vilù, Ludmila/Fédérico, Léna/Andrès, Maxi et Nata. Thomas et Diego, vous allez créer un rythme et une chorégraphie à vous deux.
Vilù : Génial, on va travailler tout à l’heure ?
Léon : Oui, à tout à l’heure ma puce. (Il la serra dans ses bras.)
Tout le monde discutait du travail, c’était l’heure du déjeuner.
PDV de Nata :
Nata : (Je n’y crois pas Je suis avec Maxi ! Il faut qu’on change mon groupe !)
Monsieur je peux changer de groupe et me mettre avec Ludmila ?
Grégorio : Natalia, ma petite Nata…Quelle idée de vouloir vous mettre avec Ludmila ? Maxi ne va vous mangez. Et puis ce n’est pas possible, les duos doivent êtres mixtes. Donc ce n’est pas possible, voyez-vous ! Bon aller, du vent j’ai autres choses à faire, moi !
Nata : Mais Thomas et Diego…
Grégorio : C’est comme ça ! Il n’y aura pas de changement !
Je poussai un grand soupir et je me dirigeai vers la sortie jusqu’à ce qu’une voix m’interpella :
Maxi : Tu sais, Grégorio n’a pas tort, je ne vais pas te manger.
Nata : Ah oui, Maxi…euh, comment on fait dû coup ?
Maxi : On peut aller chez moi, ou…chez toi ? Comme tu veux.
Nata : Je préférais aller chez toi mon père, est très ennuyeux parfois.
Maxi : Ok. Bon à tout à l’heure après les cours.
Nata : Oui…oui…
Ludmila : C’est bon, vous avez fini là ! Merci bien ! Nata ! Va me chercher mon sac et une serviette humide, vite ! Compris ?!
Maxi : Nata non ! Tu n’as pas à faire ça ! Ludmila, Nata n’es pas à ton service !
Nata : Maxi, tu veux pas t’occuper de toi, non ?
PDV de Maxi :
(Nata, Nata m’as envoyé bouler comme un rien ! J’y crois pas ! Elle m’a négligé…)
Après la discussion, je me rendais au RestoBen. Je mangeais avec Andrès et Broadway.
Broadway : Ca va Maxi, tu as l’air ailleurs…
Andrès : Houhou, Maxi ! Broadway te parles depuis tout à l’heure et toi tu l’écoutes même pas !
Chapitre 4 :
Maxi : Désolé les gars, mais j’était distrait. (Nata mange toute seule au fond, je pourrais peut-être le demander de venir ici ? Non, cette table est une table de garçons ! Quoique, Broadway invite bien Cami parfois…)
Broadway suivit mon regard.
Broadway : Elle est belle Nata, hein Maxi ?
Maxi : Oui…j’aimerais tellement lui parler…Quoi ? Attends tu insinue que…
Andrès : Moi j’en suis même sûr et tout le studio à remarqué…
Broadway : Que tu craquais sur elle ! Et depuis bien longtemps.
Maxi : Peut-être enfin oui. Mais elle ma renvoyé à ma place tout à l’heure avec Ludmila…
Broadway : Se faire renvoyer par Ludmila, je peux comprendre, mais se faire renvoyer par Nata, c’est fort ! A mon avis, tu es tombé bien bas.
PDV de Nata :
(Les garçons, je les vois discuter là bas. Ils ont l’air sympas, surtout Maxi. Il m’a aidé tout à l’heure, est un plus il est mignon…Mais qu’est ce je racontes, moi ! Bon tout de façon, je le verrais tout à l’heure. J’ai vais, je vais être en retard.)
Je me rendis à la rue de Maxi, c’est génial ! On habite à une maison d’écart, j’avais même pas remarqué que Maxi était mon voisin. Je rentrais chez moi, histoire de prévenir mon père de mon absence de cette après-midi.
Nata : Papa ! Je m’en vais faire un travail chez quelqu’un et je ne serais pas de retour avant 1 heure.
Père : Et qui t’as permis d’y aller ?
Nata : Mais papa, ce devoir est un devoir noté, il faut créer une chanson plus une chorégraphie, c’est dur, mais en plus c’est long !
Père : Je t’y permets d’y aller 1 heure nette, si tu mets plus de temps, tu seras punie. Compris ?
Nata : Oui…
(Ca y est, je peux y aller. Mon père n’a pas été trop sévère avec moi, une chance !)
Je ferma la porte et je découvrit Maxi, une casque sur ses oreilles et qui dansait sur le rythme de la musique qu’il écoutait. Il écarquilla les yeux en m’apercevant.
Maxi : Nata ! Tu habites ici ?
Nata : Oui, c’est cool, hein ?
Maxi : Oui, comme ça on sera pas gênés par la distance. Tu viens je vais te présenter ma mère.
Chapitre 5 :
Il ouvrit la porte devant moi et me laissa entrer, il la ferma ensuite.
Sa maison était magnifique, avec des meubles blancs et les murs de couleur sable. Une femme vient à moi.
Maxi : Nata, voici ma mère. Maman, voici Nata, une fille de ma classe.
Nata : Enchanté de vous rencontrer. Votre intérieur est très bien accordé !
Mère : Waouh ! Non seulement jolie, mais polie. Bravo Maxi.
Maxi : Non ! Non, maman Nata est venue juste pour un travail qu’on doit faire pour les cours de Grégorio.
Mère : Ah…Eh bien je vous laisse travailler alors. C’est un plaisir de t’accueillir ici Nata.
Nata : Moi aussi madame Ponte.
Maxi : Tu viens, on va dans ma chambre, mon ordinateur est en haut.
Nata : Je te suis.
Je montais les escaliers et Maxi me guida vers une pièce. C’était sûrement sa chambre. Ah oui, c’était effectivement sa chambre, elle était super grande avec des murs bleus foncés et blancs, une série d’instruments y était disposée, une guitare, un clavier, une autre guitare et une batterie. Et avec un grand lit blanc au fond.
Maxi : Je t’en prie, assieds-toi.
Nata : Tu as réfléchi au thème de la chanson ?
Maxi : Pas vraiment…
Nata : J’ai une idée ! Quelle est la dernière émotion que tu as ressentit ?
Maxi : De l’amour… (En rougissant)
Nata : Très bien, on a qu’à faire une chanson qui parle de sentiments amoureux.
Maxi se mit au clavier, il joua un air.
Nata : C’est une jolie boucle musicale.
Maxi : Merci. Tu as réfléchi au texte ?
Nata : Pas vraiment, mais j’ai quelques idées. Pour le titre, j’ai pensé à Ahi Estaré.
Maxi : Je peux continuer à l’écrire ?
Nata : Je t’en prie, vas-y.
Je lui tendis la feuille et il écrit quelques phrases et me la redonna ensuite. C’était génial ! Alors, je me suis mise à chanter. Maxi comprit et joua les partions. Peu après, il se mit à chanter lui aussi. Le moment était magique, merveilleux. J’avais l’impression d’avoir des ailes.
Chapitre 6 :
Maxi : Parfait, mais maintenant il faut qu’on invente une chorée. Tu sais danser ?
Nata : Pour tout t’avouer, pas trop…enfin, ça dépens des genres.
Maxi : C’est pas grave, je peux t’apprendre. Je vais t’apprendre le slow.
Nata : Le slow ? Tu es sûr ? (Dis-je avec une petite voix)
Maxi : Oui, c’est basique et en plus c’est simple ça convient à la chanson. Alors, le slow c’est avant tout une danse lente. Tout ce que tu as à faire, c’est de suivre mes pas en faisant 1, 2, 3 et en faisant des figures, comme celle où je te fais tourner par exemple.
Nata : D’accord (Si c’est pour le studio…)
Je suivais ses pas merveilleusement, sans même lui marcher sur les pieds une seule fois.
Maxi : Je te félicite, tu es une excellente danseuse !
Nata : Merci, et toi un excellent professeur.
Maxi : Merci, c’est gentil…
(Pourquoi j’ai dit ça ? Il faut que je reste auprès de Ludmila, si mon père venait à savoir ça…Adieu le studio pour moi)
Il me fit ensuite tourner et me ramena à lui, ma poitrine contre la sienne. Je sentais son cœur battre à pleine puissance. Soudain, une voix d’homme nous interrompu :
??? : Maxi ! Je suis rentré !
Maxi fit une drôle de tête quand il entendit cette voix, il avait les yeux écarquillés et il ne disait plus un mot.
Nata : Qu’est ce qu’il a ? Un problème ?
Maxi : Vite ! Cache-toi !
Nata : De quoi ? Mais c’est qui ??
Maxi : C’est mon père ! Et si il te voit là il va péter son câble !
Nata : (Je connais ça) Je peux me cacher derrière ton lit ?
Maxi : Espérons que ça marche !
Père : Maxi ? Salut, qu’est ce que tu fais ?
Maxi : J’écoutais de la musique. (Il fit un sourire forcé)
Père : Bon, je te laisse alors. On va manger bientôt, tu descendras ?
Maxi : Oui, ne t’inquiètes pas.
Son père referma la porte. Une fois partit, je me releva et lança un regard à Maxi. On éclata de rire tout les deux en même temps.
Nata : Pourquoi tu ne voulais pas que mon père me voie ?
Maxi : Mon père n’aime pas que je lui cache des choses.
Nata : Quel genre de chose ? (Dis-je, avec un sourire malicieux)
Chapitre 7 :
Maxi : Eh bien, le genre que je ramène une jolie fille de ma classe et qu’on fasse une très jolie chanson ensemble…
(Maxi est trop gentil ! Houlà, il faut que je me calme, je deviens aussi rouge qu’une pivoine…)
Nata : Du coup, je vais faire comment pour partir d’ici, comme ton père ne doit pas me voir ?
Maxi : Euh… (Il lança un regard à la fenêtre)
Nata : Nan, tu rigole là ?
Maxi : Désolé Nata…Au pire, je sort et je te passe l’échelle du jardin.
Nata : Ca serait quand même plus sympa que de sauter de ta fenêtre !
Il se rendit à la porte d’entrée. Il sortit dans le jardin, j’entendis un gros bruit. Puis je vis Maxi avec la fameuse échelle. Il la posa contre le mur.
Maxi : Tu peux y aller, c’est bon.
Je commence à descendre doucement. Quand je m’appuyais sur le cinquième barreau, il se brisa et je glissai. Je tombais en poussant un petit cri aigu. Je fermai les yeux juste deux secondes. Quand je les ouvris, je me trouvais dans les bras de Maxi ! Il m’avait rattrapé pendant ma chute ! Je rougis et lui souffla à l’oreille :
Nata : Merci…
Maxi : Il n’y a pas de quoi…
Nata : Bon vite, je dois y aller, mon père m’attends.
Maxi : Bon, eh bien. Bon appétit, alors et à demain.
Je me dirigeais vers ma porte d’entrée. J’ouvrit et refermais la porte quand je sursauta : mon père était juste derrière.
Père : Nata, j’ai à te parler. Je t’avais dis d’y rester 1 heure, et tu es resté 1 heure et demie !
Nata : Mais papa, on avait beaucoup de travail et…
Père : Et tu aurais dû surveiller l’heure ! Nata, une promesse est une promesse, je suis donc obligé de te punir ! Tu seras donc privée de sortie ces deux prochains jours.
Nata : Mais je…
Père : Monte dans ta chambre !
Je montait les marches de l’escalier quatre à quatre et me précipita dans ma chambre. Je claqua ma porte et m’effondra sur mon lit, j’étais en colère après mon père.
Nata : Quel casseur d’ambiance celui-là ! Tout allait bien jusqu’à ce qu’il me punisse !
??? : Tu passe tes nerfs sur cet oreiller, qu’est ce qu’il ta fait ?
Chapitre 8 :
Nata : Thomas, j’ai pas trop envie de parler là…
Thomas : Ca me rend triste de voir ma sœurette triste. C’est Maxi ?
Nata : Comment tu sais que je suis allée chez Maxi ?!
Thomas : Parce que tu viens de me le dire. :)
Nata : Et merde. Qu’est ce qui m’arrive en ce moment ? Je me fais avoir à chaque blague qu’on me fait !
Thomas : J’ai entendu la conversation que tu as eue avec papa ? Tu sais, deux jours, ce n’est pas si long que ça.
Nata : Peut-être, mais deux jours sans le studio, ça va faire drôle. Et puis Ludmila va me passer un de ces savons !
Thomas : Ca ira, ne t’en fais pas. Tu n’as qu’à prévenir tes amis que tu ne seras pas là.
Nata : Thomas, ça va être facile. Dans mon répertoire, il n’y a que toi, Ludmila et…personne…
Thomas : Mouais…C’est qui ?! (Il me prit mon téléphone des mains).
Nata : Rends-le-moi ! T’es vraiment chiant ! D’accord, si tu le prends comme ça. (Je lui pris son téléphone des mains et fit la même chose).
Thomas : C’est pas du jeu ! Nan, je rêve ! Tu as le numéro de Maxi !! Où tu l’as eue ?
Nata : Je l’ai chouré chez lui…Te ne lui dis rien !
Thomas : Pas sûr…
Nata : Hein, hein. Dis-moi, frérot. Je me demande comment réagira Léna quand je lui dirais que tu as SON numéro ?
Thomas : Hé ! C’est du chantage ! Bon d’accord, je veux bien me taire à condition que tu te taises ! Surtout !
Nata : Marché conclut alors !
Thomas : Ne t’inquiètes pas, Maxi est depuis longtemps amoureux de toi.
Nata : Quoi ? Mais c’est pas possible !
Thomas : Tu n’es pas contente ? Je croyais pourtant que…
Nata : Chut ! Et maintenant, tu veux bien me laisser ? J’ai des trucs à faire.
Père : Nata, Thomas ! Vous venez manger !
Nata : J’ai pas faim ! Je vais me coucher !
Thomas : J’arrive !
Le lendemain…
Je me suis réveillée à 11 heures, au moins je pouvais me reposer. Je consulta mes messages : 1 nouveau message de Ludmila. (Ca me m’étonne pas…) et 1 nouveau de Maxi !
Chapitre 9 : (En cours d'écriture)
Message de Ludmila :
Nata qu’est ce que tu fous ? C’est pas parce que tu as un rhume de fourmi que tu ne dois pas m’apporter de l’eau !!!
Fin du message
Message de Maxi :
Qu’est ce que tu as ? Ton frère dit que tu es malade, mais moi je crois que c’est à cause de hier…
Si je t’es mise mal à l’aise, je suis vraiment navré…
(Ou alors, tu es vraiment malade, et dans ce cas là, je passe pour un vrai boulet !)
Sil te plait, réponds-moi vite !
Pour régler mes doutes…
Une question tournait sans arrêts dans ma tête : comment Maxi pouvait avoir mon numéro ? Peut être qu’il a demandé à Thomas ? Nan, il me l’aurait dit quand même. De toute façon je dois rester avec Ludmila. Je vais quand même lui répondre :
Ne t’inquiètes pas, je ne suis pas malade, je vais très bien. Je suis, et je ne serais pas au studio pendant deux jours parce que j’ai des problèmes.
1 nouveau message de Maxi :
Je peux t’embêter jusqu’à te demander quels genres de problèmes ?
-Maxi, tu ne peux pas te mêler de ma vie. Alors sil te plait, laisse-moi tranquille.
(Mais pourquoi j’ai dit ça ?! Pour une fois que quelqu’un se préoccupe de moi, je lui fous des vents…)
-D’accord, eh bien je te laisses…
(Pourquoi je suis aussi méchante avec lui, il a seulement voulu bien faire…)
PDV de Maxi :
(Pourquoi Nata ne veut pas me répondre ? Peut-être qu'elle est vraiment malade mais qu'elle n'ose pas le dire. Non, Nata n'est pas du genre à mentir...Enfin, pas que je sache...)
Andrès : Tu viens, on a cours de danse avec Grégorio.
Maxi : Prépares ma tombe...
(Je passe ce moment, car il n'est vraimant pas important.)
Après le cours, je me dirigeai vers chez moi. J'ouvrit et referma la porte d'entrée, je balança mon sac sur le canapé. Et repartit en criant :
Maxi : Maman, je part dehors !
Je voulais à tout prix savoir ce que me cachait Nata. (Alors, je fit un truc totalement FOU !) Je pris mon échelle de jardin et alla inconito dans le jardin de Nata. Je leva ma tête et je vis des rideaux violets avec des notes de musique, je suppose que c'est ceux de Nata. Je posa l'échelle contre le mur de sa fenêtre et commença à grimper.
PDV de Nata :
J'était en train d'écrire lorsque j'entendais un bruit qui venait de ma fenêtre. PUTAIN c'est quoi ce bruit ??! C'est flippant !
Je crois que c'est quelqu'un , un cambrioleur ?! Je chopa un balai et le mit derrière mon épaule pour prendre de l'élan au cas ou.
J'apperçu un début de couvre-chef, Maxi ? Nan pas possible !